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Le bel été des centres de loisirs

   

Cet été, la Communauté de Communes a tenu à accompagner une nouvelle fois les centres de loisirs du territoire et favoriser l’accès des enfants à des activités ludiques et culturelles. Qu'il s'agisse d'Aqualun’, du centre équestre de la Galopade ou d'ateliers ludiques au Château, l’été des petits Lunévillois fut une nouvelle fois bien rempli !

Outre la piscine, littéralement plébiscitée par les jeunes cet été (plus de 1500 entrées des CLSH entre juillet et août), les jeunes ont également pu faire de l’équitation au centre équestre de la Galopade et participer à des ateliers de faïence au Château de Lunéville. « Il faut dire qu’avec les grosses chaleurs de cet été, on nous a beaucoup réclamé la piscine » confirme Martine Gafour, la directrice de l’association ASAL. « Et si pour les jeunes s’y rendre à pied fut une évidence, les déplacements par ces fortes chaleurs furent rendus plus compliqué pour les enfants, surtout ceux dont l’âge est compris entre 3 et 5 ans. Grâce au soutien de la CCLTB et du dispositif Culture Bus, nous avons pu bénéficier de transports gratuits. »

L’association Asal a bénéficié du soutien de la collectivité pour les activités estivales, mais elle ne fut pas seule : CLSH d’Avenir, l’île aux enfants, CLSH d'Hériménil, Familles rurales des Moncel-lès-Lunéville, MJC Jacques Prévert, Centre Social les Épis et Lorraine Gym également.

 « Il ne s’agit pas uniquement de divertir mais aussi et surtout d’accompagner le jeune public à travers des activités qui leur apportent quelque chose. Et cela est rendu possible par le soutien de la Communauté de Communes. A la Galopade, par exemple, c’est prendre la responsabilité d’un animal, savoir en prendre soin et partager un temps privilégié avec « sa » monture. A la piscine, c’est respecter des consignes de sécurité sur le trajet, un horaire et partager un espace public. Lors des ateliers au Château, c’était développer des compétences nouvelles grâces auxquelles les enfants ont pu repartir avec un objet fabriqué de leurs mains. Je préfère mille fois ça pour les enfants qu’une journée dans un parc d’attraction bondé où ils sont péniblement conduits en rang à travers 3 manèges.»

  • Martine Gafour, directrice de l'association ASAL à Lunéville

      

 

Des actions fortes en direction de la jeunesse